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Mardi 31 janvier : TORRES DEL PAINE


Le réveil est plus que brumeux pour tout le monde. Certains randonneurs sont obligés de partir pour un autre refuge ; nous choisissons l'option retour maison.


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Des guanacos ne sont pas trop farouches ici dans le parc et ne fuient même pas sur notre passage ; finalement, on ne fait peur à personne !!!

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Hasta luego las torres

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Du vent, toujours du vent, mais rien n'arrête le pèlerin... on opte pour une petite marche avant de prendre le bus.

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Vous êtes prévenus, aujourd'hui indice 5 = crème solaire obligatoire surtout que là aussi, ozone est absent de la voute céleste !

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Et voilà notre bus pour le retour et déjà ça promet, notre chauffeur est couché sous le car en train de resserrer les boulons... pourvu que ça tienne pour les 142 kms qui nous attendent ?!!
Petite particularité des bus ici, du moins pour les anciens : le chauffeur et les passagers sont séparés par une cloison avec une porte condamnée ... par le chauffeur ; en cas de problème, on est fait comme des rats et sans issue de secours ; rassurant non ?

Arrivés en ville, on va causer du pays au sieur qui nous a vendu les billets (probablement ça ne changera rien, mais au moins ça soulage !)

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Petite vue d'ensemble sur la pampa argentine entre las Torres y Puerto Natales
Un détail qui ne vous aura pas échappé, ces milliers de kms de barbelés pour éviter que les moutons ne se fassent «shooter» sur la route.
Petite information supplémentaire, avec ce genre de végétation, il faut 1 hectare de pampa par mouton, ça donne une petite idée de l'étendue des estancias et du boulot des gauchos pour rassembler les troupeaux. Autre détail, les guanacos n'ont aucune difficulté à franchir les barbelés, on en déduit qu'ils sont encore à peu près sauvages et c'est très bien comme ça !



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