Histoire de sac.
Ce jeudi retour à l'aéroport pour prendre des nouvelles du sac et ouf il est arrivé. Je vous passe tout le temps derrière le guichet pour s'expliquer et même s'énerver en espagnol.
Donc retour en ville et à peine descendus du taxi, Odile se rend compte qu'elle a oublié son sac dans la voiture. Malgré le sprint de Michel, le taxi est parti.
Qui a dit que les taxis sont malhonnêtes ?
Le sac est arrivé à l'hôtel dans l'après-midi contre beaucoup beaucoup de pesos (j'espère que michel c ne va pas lire ça.)

La police montée assure la tranquillité des braves gens ; les sabots des chevaux sont équipés de "pneus", sorte de sabots en caoutchouc qui permettent de ne pas glisser sur les pavés et en plus sont moins bruyants ; on a assisté à une chasse au "délinquant", c'est redoutablement efficace !!! Ce qui n'empêche pas la prolifération des caméras de surveillance.

A Santiago il y a beaucoup de petits boulots histoire d'échapper à la misère, dont les cireurs de pompes, les acteurs de rue aussi qui répètent inlassablement leurs n° devant un bon public mais l'indifférence des hommes d'affaire venus boire leur expresso à la terrasse des bars spécialisés.