Jour 46
Mardi 16 novembre 2010 : DALI - repos

Journée détente, libre, c'est-à-dire lessive, entretien vélos, internet, banque..., mais aussi visite de la ville ancienne, dégustation de pâtisserie avec un vrai café svp !!!!.

A l'entrée de la ville, des cabines de toilette public ; la cabine du milieu est réservée à madame pipi, en plus du tiroir caisse il y a tout le nécessaire pour se faire à manger !!

Dali est très touristique et les visiteurs majoritairement Chinois sont nombreux. Le tourisme en Chine se développe au même rythme que le reste de l'économie, au profit d'abord des Chinois avant la clientèle étrangère !!.

La porte principale de Dali, lieu de passage incontournable ; un superbe monument de jour et de nuit grâce à un éclairage très agréable comme pour l'ensemble des bâtiments de la zône touristique. Nous y rencontrons Danielle et Michel de Seynod qui roulent dans l'autre groupe.

Là, c'est Michèle et Daniel mais de notre groupe en train de consulter la carte touristique de la ville. Comment çà marche ?

Nous assistons au passage du cortège funéraire d'une vénérable dame qui devait avoir une nombreuse famille ; 4 membres de la famille, le front ceint du bandeau blanc portent l'urne.

Il faudra attendre que notre marchand ait fini sa partie de dominos pour pouvoir acheter du thé ; visiblement notre insistance le dérange, la négociation est vite expédiée et aussitôt la partie reprend. De l'autre côté de la rue, les cantonniers désinfectent les poubelles ; il faut reconnaître que la ville est très propre.

Les magasins de bijoux fantaisie se succèdent ; certains commerçants, pour attirer le chaland en fabriquent sur place ; d'abord on chauffe le métal au chalumeau pour lui donner une forme, ensuite on grave les motifs,

enfin on astique le tout pour que ça ressemble à de l'argent ; Au bout de la rue, dans son église, Jésus survole la muraille de Chine.

Atelier de broderie moderne, la demande est très importante ; au fond d'un garage à l'écart de la rue principale les machines numériques vous sortent tous les modèles que vous trouverez en boutique, (certifiés fait mains comme les bijoux ?)

Quand le canard est livré, il est aplati, fripé, bref pas trop appétissant ; un coup de compresseur dans le gosier et le voilà bien dodu, prêt à être laqué.

On croirait un vrai petit chalet à Courchevel.	Une autre porte des remparts.