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Jour 57 Samedi 27 novembre 2010 : LIJIANG altitude 2400 m
CA S'ARROSE, MAIS D'ABORD ON DESHABILLE LES VELOS.
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Opération récupération : selles, pédales et autres accessoires perso ;
Roland jette un dernier regard sur l'état du matos, faut pas trainer, la ville nous appelle.
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Vous ne rêvez pas, c'est bien notre hôtel.
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On commence par le tour du proprio :
L'hôtel est organisé autour de petits patios « à la Chinoise » avec des bassins à poissons,
des bonzaïs et des arbustes aux jolies couleurs d'automne ; tout autour, les coursives en bois mouluré et
sculpté permettent d'accéder aux chambres, aux diverses salles, réunions, restaurant, petit déjeuner...et même un petit temple.
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A l'entrée de la ville, Mao, ou plutôt ses troupes, veillent au grain, !!!
nous, on est vraiment pas convaincu qu'il s'y retrouve avec son petit livre rouge !!
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Sur cette même place, tôt le matin c'est taï chi pour les anciens, et tard le soir c'est danse pour les plus jeunes.
Bon, ce n'est pas encore de la techno... mais patience !!!.
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Le plus petit resto de la ville, peut-être même de Chine : juste de quoi mettre un bol de riz,
de la hauteur des baguettes... à côté des billets de loterie ?.
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Lijiang le jour : les canaux, les ruelles piétonnes,
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les boutiques de souvenirs
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non, ce n'est pas du reblochon ! c'est du thé !
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Lijiang, by night, très beau aussi et très animé ; grands resto, bars et boîtes branchées,
bref tout ce que Mao rêvait pour son bon peuple !!!
C'est là aussi qu'on voit une nette différence de traitement entre les villes et les régions,
hier soir, nous étions dans le noir, coupure de courant oblige pour toute la ville et pendant toute la nuit,
ce soir on est dans la profusion de lumière et de bruit...
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Maman, les petits bateaux ... c'est le moment de faire un voeu, ou une promesse ?
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Ce soir pot de clôture, donc faut être présentable >>> séance coiffeur, pendant ce temps (assez long),
Michel profite du spectacle dans une rue moins voire pas du tout « touristique »
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17h -1/4 le cuistot est à feu vif (au gaz), 17h00 pétante il dégage. Un nouveau cuistot arrive avec son fourneau sur
roulette garni de tous les ingrédients, 17h05 le nouveau est à feu vif. Les clients, derrière, n'ont pas bronché,
les tables restent communes.
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Ce qu'ils proposent dans ces caquelons est très appétissant.
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Là ce n'est peut-être pas pour nos estomacs, même après 2 mois d'entrainement...
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Donc, on arrose. Le maître de cérémonie nous fait un petit discours chargé d'émotion.
La chorale lui chante « c'est bon pour le moral » à la façon de Michelle.
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Les canadiens y vont de leur couplet, même Tuo accompagné par son ami Yi nous chante une ritournelle de son ethnie.
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Les franco-catalans s'en donnent aussi à coeur joie, suivis par les savoyards avec « étoile des neiges », forcément !
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Encore une photo du groupe mais il en manque encore 2, comme d'hab !
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