Nous n'avons pas besoin de regarder la météo, le ciel est bleu tous les jours avec un petit vent rafraîchissant.

Tracteur à 3 roues, idéal pour aller dans les champs de coton.	Gros plan sur une fleur de coton.

La récolte s'effectue en 3 ou 4 passages, toutes les fleurs ne fleurissent pas en même temps ; ici 2 « bourgeons prêts à éclore, mais ce sera pour le prochain passage.	Chacun a son sac accroché à la ceinture et essaie de le remplir le plus vite possible ; Ils sont payés au poids et les fleurs sont vraiment légères. La cueillette du coton nécessite beaucoup de main d'oeuvre (70%) et il existe bien des machines pour ramasser le coton (30%), mais la qualité n'est plus au rendez-vous.

Des montagnes de coton fraîchement cueilli.	L'Ouzbekistan possède d'importantes réserves de gaz et beaucoup de voitures roulent au gaz même si parfois il faut faire la queue à la station service.

Nous entrons dans la république autonome du Karakalpasktan, la 12ème région d'Ouzbekistan ; c'est la plus vaste des régions, créée en 1925 par les soviétiques. Elle vivait principalement de la pêche en mer d'Aral jusqu'à la monoculture du coton décidée à l'époque par Moscou qui a entrainé ce « séisme » écologique.

On trouve encore de vieux side-car bricolés, rafistolés, mais dont la mécanique demeure increvable !!

Les écolières ont toutes un uniforme et un gros noeud dans les cheveux.

Pour traverser le fleuve Amoudaria, nous empruntons ce pont provisoire en perpétuelle rénovation, no photo ! no camera ! comme tous les passages en douane, aéroport ... donc on ne vous en montrera pas plus ...	Après 107 kms à vélo, nous finissons l'étape en bus pour arriver à Nukus, capitale de cette république.