C'est paraît-il, une étape tranquille avec beaucoup de descente : on est encore à 1200 m d'altitude et ce soir on sera à 300 m.

Mais avant, une belle ascension nous attend qui nous amènera à 1400m; l'avantage de l'altitude, c'est la fraîcheur, rouler dans ces conditions c'est top.	Surtout sur un bon vélo ! (mieux réglé que l'appareil photo ce matin)

Et on continue dans ce plateau montagneux.	Celui-là a hérité d'une casquette bien de chez nous !!

Comment faire une route en 3 leçons, suite (et fin ?)	On fait chauffer le bitume.

Une fois liquide, on le transporte sur le chantier, (avec bien sûr tout l'équipement de sécurité, vêtements, tongues, gants, lunettes et masque !) C'est quand même du bitume brûlant, + ou – 140° (température idéale pour le gigot bitume)!

Lui, pour répandre le bitume avec sa gamelle percée, a droit à une paire de bottes ... en caoutchouc.

Ensuite ces jeunes (et moins jeunes) filles jettent sur le bitume des « bassines » de graviers calibrés.	Il y a quand même un rouleau compresseur pour finir tout ça.

Et ces énormes engins de chantier attendent bien sagement en bas dans la vallée !!! Il est petit le vélo de Michel, pèse pas lourd comparé aux 40 tonnes que peut transporter un engin pareil !	On est descendu de plus de 1000 m, le thermomètre lui est monté de 20° et la circulation s'est beaucoup densifiée.