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(Cabo Verde)
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Dimanche 4 janvier 2015 :   Ribeira Grande, île Santo Antao

Mindelo 8h00 : nous embarquons sur le ferry pour rejoindre l'île de Santo Antao, le trajet dure 1 heure. La majorité des passagers sont Cap Verdiens, certains plusieurs fois par mois et pourtant ils ne sont pas très à l'aise sur le bateau, beaucoup d'entre eux ont le mal de mer, nous, on est assez content que la traversée ne dure pas trop longtemps !!!

photo Puerta Novo 9h30, voilà le comité d'accueil au débarquement : ce sont les chauffeurs d'aluguer ou leurs rabatteurs qui essaient de récupérer des clients (sur les escaliers, les autorités ont peint une ligne rouge qu'ils ne doivent pas dépasser). L'aluguer c'est le taxi collectif bon marché ; on peut être un peu serrés, mais les touristes étrangers sont un peu mieux « soignés » ; ils paient probablement un peu plus cher que l'autochtone.

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Ce soir, nous dormons au bord l'océan, à Cruzinha, à l'extrême nord de l'île qui sera le point de départ de notre randonnée sur le chemin côtier ; vu d'en haut, il manque un bout de toiture à notre auberge !! Tous les chemins sont pavés et murés, un travail titanesque pour transporter et empiler ces cailloux, nous allons évoluer toute la journée dans cet environnement ; de loin, on se demande où va passer le chemin dans ces falaises qui dominent la mer.

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Ces chemins sont parfois très raides.

photo Le problème pour chacune des îles du Cap Vert, c'est l'eau !
La pluviométrie est très insuffisante et seulement sur les versants orientés coté Atlantique, et en plus le vent quasi permanent assèche les terres.
Aujourd'hui, on se demande ce qui a inspiré les navigateurs qui ont baptisé ces iles du joli nom de Cap Vert ?!

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A plusieurs reprises nous allons traverser des villages seulement accessibles à pieds, avec école, petit commerces et habités par une population jeune avec de nombreux enfants, certains habitants parlent très bien le français. De quoi vivent-ils ? Beaucoup de terrasses sont abandonnées faute de main d'oeuvre mais surtout d'eau. Les maigres plans de maïs sont secs avant d'arriver à maturité.

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Nous marchons toujours en surplomb du rivage.

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Autre village avec ses maisons construites juste au bord du précipice voire en surplomb des cavernes. Et voilà Punta do sol, fin de notre randonnée.
Dans cette petite ville les autorités ont construit un aéroport aujourd'hui abandonné après un accident d'avion venu percuter la montagne.



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